Nayant pas leau courante dans les cours, il fallait compter sur « mère nature » pour larrosage des plantes. Pour lusage domestique les habitants étaient forcés de faire la corvée deau à la citerne municipale située sur la route du Paille en Queue, face à leucalyptus centenaire du coin.
Ce réservoir en forme de grosse cuve de fer frangée de boulons était peint en ocre rouge. Laccès quelque peu périlleux se faisait par un étroit escalier descendant à pic vers le robinet. Que de peine à nos aïeux, pour sapprovisionner en eau potable
Anne-Monique B.